''Un des classiques incontestés de la comédie musicale hollywoodienne'' Jacques Lourcelles in Dictionnaire du cinéma.
En regardant ce film, on se met à regretter les grands spectacles ''musique et danse'' de Lloyd Bacon des années 30, 42nd Street par exemple. On se met à regretter les grandes heures de Fred Astaire, ici sur le déclin, qui est aussi un des thèmes du film. On se met à regretter que la comédie musicale n'ait pas fait un pas de plus vers sa modernisation. Qu'attendait-on pour dépoussiérer ces vieilles lunes ?
Il y a quelques moments magiques dans ce film dont Dancing in the Dark, Charisse et Astaire, dansant au clair de lune dans Central Park. On peut aussi trouver magique, les jambes de Cyd Charisse...
Visionné, la première fois, le 29 octobre 1989, à la télévision, à Montréal.
Mon 275ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider.