tag:blogger.com,1999:blog-48427313826448547392024-03-19T04:47:04.424-04:001001 filmsDes films, ma vie et rien d'autre. Site traitant des "1001 films à voir avant de mourir" de Steven Jay Schneider. Présentation chronologique des films en fonction de mon histoire personnelle. Vous n'y trouverez, ni résumés, ni critiques de films mais des idées, des émotions, des bribes de vie, suscitées par cette randonnée au cœur des 1001 films.Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comBlogger373125tag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-65437343425690275522024-03-15T22:21:00.003-04:002024-03-15T22:21:29.960-04:00367. Aronofsky : Requiem for a Dream<p style="text-align: justify;"><b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : Requiem for a Dream</span></b></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMYv7WMFaPikVgh67MY6OgQVOhyMMItZ47T3H0wxD43OAd68qPpPHO6aGeeLtzpJej_XhgKdGjkmiDFam8oa3VxfjI8MEidbNmdIvrE3Y4zKGgYmnjI7u53rR51Ev99i2NGQH-apIYf90MrywM4ObEfV29HyPOoTzfK64R0aamkf2z0Ugx9j8L-n2mYXM/s583/Requiem%20for%20a%20Dream.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="583" data-original-width="389" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhMYv7WMFaPikVgh67MY6OgQVOhyMMItZ47T3H0wxD43OAd68qPpPHO6aGeeLtzpJej_XhgKdGjkmiDFam8oa3VxfjI8MEidbNmdIvrE3Y4zKGgYmnjI7u53rR51Ev99i2NGQH-apIYf90MrywM4ObEfV29HyPOoTzfK64R0aamkf2z0Ugx9j8L-n2mYXM/s320/Requiem%20for%20a%20Dream.png" width="214" /></a></div><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: large;">Film américain réalisé en 2000 par Darren Aronofsky</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Ellen Burstyn, Jared Leto, Jennifer Connelly, Marlon Wayans, Christopher McDonald</div><div style="text-align: justify;">D'après le roman éponyme de Hubert Selby Jr., publié en 1978.</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Pourrait aussi être intitulé Requiem pour des camés. La descente aux enfers de quatre personnes accrochées à leur drogue. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Une performance éblouissante d'Ellen Burstyn dont le personnage qui, pour participer à un jeu télévisé, se lance, avec l'accord de son médecin, dans la consommation d'amphétamines qui la mènera finalement à son enfermement dans un asile psychiatrique. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Dans la même veine que <i>Trainspotting</i> mais, une coche en-dessous.</span></p><p><b style="font-size: large; text-align: justify;"><span>Visionné, la première fois, le 30 mars 2002 sur VHS à Montréal. <br /></span></b><b style="font-size: large; text-align: justify;">Mon 367ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider.</b></p><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;"><span style="font-weight: 700;"><br /></span></div></span><p></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-9852196539946518452024-03-11T21:27:00.001-04:002024-03-11T21:27:41.347-04:00366. Jackson : The Lord of the Rings : The Fellowship of the Ring<p><b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : The Lord of the Rings : The Fellowship of the Ring</span></b></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSrPIT4UzTrRljflzr8uM3AwWE7q-LnbSLayu4esCK2i278PY8p95Wo3JT5I3kKz2wJFU1xyO0f4nlmvwkqlrjHLDTLmDVtlD5sSudywUxh33iqG7bP8Y33SIRl7DMZEpn63_b6qbVrx6AjNO501888GHdE5bAlDpnCJkS9ux5QlTDM379tCKQJzzwfWM/s668/Fellowship%20of%20the%20Ring.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="668" data-original-width="450" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSrPIT4UzTrRljflzr8uM3AwWE7q-LnbSLayu4esCK2i278PY8p95Wo3JT5I3kKz2wJFU1xyO0f4nlmvwkqlrjHLDTLmDVtlD5sSudywUxh33iqG7bP8Y33SIRl7DMZEpn63_b6qbVrx6AjNO501888GHdE5bAlDpnCJkS9ux5QlTDM379tCKQJzzwfWM/s320/Fellowship%20of%20the%20Ring.png" width="216" /></a></div><br /><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film néo-zélandais réalisé en 2001 par Peter Jackson</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Elijah Wood, Ian McKellen, Viggo Mortensen, Sean Astin, Cate Blanchett, Sean Bean, Liv Taylor, John Rhys-Davies, Billy Boyd, Dominic Monahan, Orlando Bloom, Christopher Lee, Hugo Weaving, Ian Holm, Andy Serkis.</div><div style="text-align: justify;">D'après l'œuvre de J.R.R. Tolkien</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><i>The Fellowship of the Ring </i>est la première partie de la trilogie <i>The Lord of the Rings.</i> Ce qui suit concerne l'ensemble de l'œuvre. Je ne distinguerai pas chacune des parties qui font partie des 1001 films de Schneider. Les deux autres <i>The Two Towers</i> et <i>The Return of the King</i> apparaitront plus tard sur ce blog sans commentaires supplémentaires ou très succincts</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">D'abord, il faut dire que si j'ai vu ce film, c'était pour faire plaisir à ma fille alors qu'elle avait dix ans. Je n'avais aucune envie d'aller voir ce film. Rien dans ce film ne m'attirait - on était loin du cinéma intimiste que je préfère. Loin aussi de mes habitudes de cinéphile formées à l'époque de la Nouvelle vague.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Je fus assez déçu de mon premier visionnement. Je n'ai retenu que les grandes scènes de bataille qui me semblaient totalement écraser le scénario. Ce n'est qu'après de multiples visionnements avec ma fille que j'ai découvert toute la partie plus intime de ce film. Et je suis tombé sous le charme. Sous le charme de ces personnages qui partent vers la quête de l'impossible - aller détruire l'anneau, source de tous les pouvoirs, dans l'enfer d'une montagne éloignée - le Mordor. Il difficile de ne pas tomber sous les charmes des Hobbits qui font partie de cette quête initiatique. Un gros plus pour le couple trans-humain d'Aragorn (Viggo Mortensen) et d'Arwen (Liv Taylor).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Je ne connaissais pas Tolkien, l'auteur de la trilogie<i> Le Seigneur des anneaux </i>(1955). Dans mon adolescence, je savais qu'un de ses livres, <i>Bilbo le Hobbit,</i> était populaire chez les amateurs du <i>new age</i> mais je ne m'y étais pas du tout intéressé. Ça me semblait être un livre pour enfants.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Après ces multiple visionnements, j'ai décidé de m'attaquer à la production livresque. <i>Le</i> <i>Seigneur des anneaux</i> est l'aboutissement d'une production phénoménale sur une durée de plusieurs décennies. Une dizaine de livres sont consacrés à la formation de la<i> Terre du Milieu</i> et de ses multiples légendes. La<i> Terre du Milieu </i>c'est l'espace géographique où se déroule la trilogie. Je me suis plongé dans cette œuvre avec passion sans jamais en avoir fait le tour.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Je me souviens que le prologue m'avait complètement sorti du film. J'ai eu peine à me réinstaller dans l'histoire alors que ma fille était totalement éblouie et séduite par la magie et les personnages de cette histoire.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Évidemment, il faut se procurer la version longue et ses dvd d'extras qui nous montrent les dessous d'une des plus grandes œuvres (au sens de la production) de l'histoire du cinéma.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Je viens de revoir la version longue : la magie n'opère plus. La production est toujours aussi immense mais l'histoire tombe à plat. Mettons ça sur le compte de mon éloignement de tout ce qui relève de la fantasy.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La musique d'Howard Shore est sublime. C'est une grande œuvre symphonique. Ma fille et moi avons eu la chance d'aller voir la production de cette œuvre à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts à Montréal avec Howard Shore au pupitre. Une grande expérience émotionnelle inoubliable.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">L'Office du tourisme néo-zélandais a une grosse dette envers Peter Jackson. Les scènes tournées dans les Alpes néozélandaises sont tout à fait magnifiques.</span></p><p><span style="font-size: medium;"><b>Oscars 2002 </b><span>: Quatre statuettes : photographie, effets spéciaux visuels, maquillage, musique (Howard Shore)</span></span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><span>Visionné, la première fois, le 5 mars 2002 au cinéma Quartier Latin à Montréal. <br /></span></b><b style="text-align: justify;">Mon 366ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider.</b></span></div><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-64419604223025828282024-03-04T20:08:00.000-05:002024-03-04T20:08:40.427-05:00365. Nolan : Memento<p><b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : Memento</span></b></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiiKN15hUbrkCq3Ey1813nQM4-T5z1z4LNxnxi0uMCs7o9hRmd7ZJRtFKi5Bheo6bDwYntApCND75GzB6nv-UOEC9yLrj-oIWe0aqLB15Uw49ljGe_xXfReBkytqfNX04DW-QcXMuxF04T3q6m8wkpmHzewdZZxP-MAzBXySmIPTEsL9BMRPQ8aHmDjtOM/s583/Memento.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="583" data-original-width="398" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiiKN15hUbrkCq3Ey1813nQM4-T5z1z4LNxnxi0uMCs7o9hRmd7ZJRtFKi5Bheo6bDwYntApCND75GzB6nv-UOEC9yLrj-oIWe0aqLB15Uw49ljGe_xXfReBkytqfNX04DW-QcXMuxF04T3q6m8wkpmHzewdZZxP-MAzBXySmIPTEsL9BMRPQ8aHmDjtOM/s320/Memento.png" width="218" /></a></div><br /><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film américain réalisé en 2000 par Christopher Nolan</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Guy Pearce (Leonard), Carrie-Anne Moss, Joe Pantoliano, Mark Boone, Russ Fega, Jorja Fox</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">C'est la deuxième fois que je vois ce film et je n'arrive toujours pas à m'y retrouver. Le film se présente comme un puzzle psychologique mais il me manque, à chaque fois, des pièces pour que tout ça fasse du sens.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Mais malgré un scénario difficile à démêler, on est fasciné par ce Leonard qui a perdu la faculté d'acquérir de nouveaux souvenirs (amnésie antérograde) lors d'un événement traumatisant - le meurtre de sa femme.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">L'histoire du meurtre et la quête de vengeance est, finalement, moins important que la manière dont Leonard s'y prend pour contrecarrer son handicap. Ce qui me fascine et ce qui fait tout l'intérêt de ce film c'est la façon dont le personnage principal essaie de combattre son invalidité en accumulant l'information en utilisant des photos de polaroid, des post-it et des tatouages sur son corps. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"></span></p><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><span>Visionné, la première fois, le 10 janvier 2002 sur VHS à Montréal. <br /></span></b><b style="text-align: justify;">Mon 365ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider.</b></span></div><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></div><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-62201716083826954512024-02-18T11:40:00.000-05:002024-02-18T11:40:15.709-05:00364. Verhoeven : Total Recall<p style="text-align: justify;"><b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : Total Recall</span></b></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNSIGB4YiaNeUeNn4xLmEvAFVOHo7197OvxZHV3ClG18xtMPb6ND5nNBwRa2yxYWV-wFsxiHmQmr7l_IK2-rWI9j-n_-V6VAJ41NU_-6MuZVyFNpqMKkF7AYx5xbLuJZN1sUOVzJfHADPF0QtPvrCJDr9evNQix4HANRe_XiXSLTHfKsMvji220Cb7NQY/s585/Total%20Recall.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="585" data-original-width="395" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiNSIGB4YiaNeUeNn4xLmEvAFVOHo7197OvxZHV3ClG18xtMPb6ND5nNBwRa2yxYWV-wFsxiHmQmr7l_IK2-rWI9j-n_-V6VAJ41NU_-6MuZVyFNpqMKkF7AYx5xbLuJZN1sUOVzJfHADPF0QtPvrCJDr9evNQix4HANRe_XiXSLTHfKsMvji220Cb7NQY/s320/Total%20Recall.png" width="216" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Film américain réalisé en 1990 par Paul Verhoeven</div><div style="text-align: justify;">Avec Arnold Schwarzenegger, Sharon Stone, Rachel Ticotin, Ronny Cox, Michael Ironside</div><div style="text-align: justify;">D'après la nouvelle de Philip K. Dick, <i>We Can Remember it for You Wholesale.</i></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Total Recall est une compagnie qui vous permet de réaliser vos rêves. Doug Quaid (Arnold) décide de se payer un voyage sur Mars qui occupe ses rêves depuis des années. Mais lorsque la machine se détraque, Quaid se réveille, agent secret à l'emploi d'une rébellion sur Mars. Est-ce la réalité ou est-ce un rêve ? - malheureusement, vous n'aurez pas de réponse à cette question.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Bon film de science-fiction même si on est quelquefois perdu entre rêve et réalité. On retrouve la touche du réalisateur de <i>Robocop. </i>On est inondé de séquences de bataille au détriment des relations interpersonnelles. </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">La dernière réplique résume un peu l'incertitude dans laquelle on baigne pendant tout le film : rêve ou réalité. Quaid demande à Melina (Ticotin) si tout cela n'est qu'un rêve. Elle lui répond : ''alors dépêche-toi de m'embrasser avant de te réveiller.''</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><b>Oscars 1991.</b> Une statuette pour les effets visuels.</div></span><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><span>Visionné, la première fois, en 2002 sur VHS à Montréal. <br /></span></b><b style="text-align: justify;">Mon 364ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider.</b></span></div><p><span style="font-size: medium;"><br /></span></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-33913102344595546572024-02-07T22:07:00.000-05:002024-02-07T22:07:12.810-05:00363. Wadleigh : Woodstock<p> <b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : Woodstock</span></b></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjn6pxCuJVGWL0O6KRzt2rRAdjaymOF_8UDz-2ncSUrPRw3BOS7CLj6oV43VVGoe7FSrTz4CjAdO8vLpoCrfivzfmvfHeqRyZHKWQCtX8uB7CkEpxUEVFHS88b9LYilGabTDbX1WfGzeidigzgKnm9wyDLMMEy4X-9WewU2yclyztuC7lBs3OAQVpCcn9I/s582/Woodstock.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="582" data-original-width="381" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjn6pxCuJVGWL0O6KRzt2rRAdjaymOF_8UDz-2ncSUrPRw3BOS7CLj6oV43VVGoe7FSrTz4CjAdO8vLpoCrfivzfmvfHeqRyZHKWQCtX8uB7CkEpxUEVFHS88b9LYilGabTDbX1WfGzeidigzgKnm9wyDLMMEy4X-9WewU2yclyztuC7lBs3OAQVpCcn9I/s320/Woodstock.png" width="209" /></span></a></div><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film américain réalisé en 1970 par Richard Wadleigh</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Assistant à la direction : Martin Scorsese</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec 25 interprètes dont les plus célèbres : Joan Baez, Joe Cocker, Carlos Santana, Jimi Hendrix, Jerry Garcia, Janis Joplin, Jefferson Airplane, The Who, Johnny Winter.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un absent de taille: Bob Dylan. Suite à son accident de moto en 1966, il avait quitté New York pour s'installer dans la région de Woodstock. Depuis trois ans, il n'avait donné aucune prestation artistique et ne s'était montré nulle part. Il vivait reclus avec sa famille. Devant la multitude qui allait envahir sa région, il préféra fuir en Angleterre où il donnera un concert au festival de l'île de Wight, deux semaines après le festival de Woodstock.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le festival a lieu du 15 au 18 aout 1969 sur la ferme de Max Yasgur à Bethel dans l'état de New York, au sud-ouest de la ville de Woodstock. En 2017, le site a été enregistré dans le National Register of Historic Places. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Conçu pour recevoir 50 000 personnes, c'est finalement 500 000 personnes qui envahiront le site pendant trois jours. Cet événement est considéré comme l'apothéose du mouvement hippie.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">J'ai visionné la director's cut qui dure 3h.44. Un montage qui, en plus de montrer les performances des artistes, nous promène à l'intérieur du site pour illustrer l'expérience vécue par quelques-uns parmi ce demi-million de spectateurs.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Les participants qui répondent aux questions de l'interviewer nous donnent une vision complète de ce qu'était les éléments caractérisant le mouvement hippie : l'amour libre, la paix sur terre, la drogue, les communes, la musique rock, le nudisme et les cheveux longs </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">On a l'impression que tous les participants à ce festival ont le même âge; pas de cheveux gris dans cette multitude. Pas de Noirs non plus, sauf sur scène.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le clou du festival : l'interprétation de l'hymne national américain par Jimi Hendrick. Un grand classique de la musique rock.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un emmerdement de première : une grande partie du film nous présente deux images concomitantes sur le même plan.</span></p><p style="text-align: justify;"><b style="font-size: large;">Oscars 1971. </b><span style="font-size: medium;">Meilleur documentaire.</span></p><div><span><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 19 avril 2001 sur VHS à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 363ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></span></div><div><span><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></span></div><p><span style="font-size: medium;"></span></p><p style="text-align: justify;"><br /></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-68334725885811458672024-02-05T18:05:00.000-05:002024-02-05T18:05:09.912-05:00362. Scott : Gladiator<p><b><span style="font-size: medium;"> 1001 films de Schneider : Gladiator</span></b></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2bABbj8tMiOyCPlkas9AbVNyqRHsKIiI9arokYZsZY3z_-M2h8dAJDJy2RV_DTdENqZAsCb4ZRayis4jftwu4R1IfAZfstS07dpKKraOBOtC1LV8b3jyqDQFsGYyCf1UTHcJBMO31NZBaqyl2SeemPPJwq-RuNflgSxGCIXgX5EBVEU6yu2RftDXBc0w/s583/Gladiator.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="583" data-original-width="407" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg2bABbj8tMiOyCPlkas9AbVNyqRHsKIiI9arokYZsZY3z_-M2h8dAJDJy2RV_DTdENqZAsCb4ZRayis4jftwu4R1IfAZfstS07dpKKraOBOtC1LV8b3jyqDQFsGYyCf1UTHcJBMO31NZBaqyl2SeemPPJwq-RuNflgSxGCIXgX5EBVEU6yu2RftDXBc0w/s320/Gladiator.png" width="223" /></a></div><br /><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film britanno-américain réalisé en 2002 par Ridley Scott</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Russell Crowe, Joaquin Phoenix, Connie Nielsen, Oliver Reed, Richard Harris, Derek Jacobi, Djimon Hounsou, David Schofield</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Premier péplum hollywoodien depuis <i>La Chute de l'empire romain</i> d'Anthony Mann tourné en 1964. Grande fresque historique qui ne nous fait pas oublier que <i>Ben-Hur, </i>tourné en 1959, demeure le champion dans cette catégorie. Mais il fallait un rappel de cette époque et <i>Gladiateur</i> nous y ramène d'une façon fulgurante.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">N'y cherchez pas une vérité historique à part la tyrannie de l'empereur Commode ; peu d'éléments véridiques dans cette histoire. Ce gladiateur (Crowe) n'a jamais existé et Commode (Phoenix) n'est pas mort au centre de l'arène du Colisée à la suite d'un combat singulier avec le gladiateur. Plus prosaïquement, il est mort, à 31 ans, étranglé par l'esclave de sa maitresse Marcia.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Les séquences de combat, au début du film, nous permettent de voir les différentes armes utilisées par les troupes romaines (on espère que, là, la réalisation colle à la vérité historique). On rigole en voyant la manœuvre d'auto-défense qu'on appelle la tortue très popularisée par la bande dessinée Astérix. Obélix adorait pourfendre cette tortue.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La reconstitution en image de synthèse du Colisée est magnifique. On ne peut que pleurer en voyant ce qu'il reste aujourd'hui de ce Colisée qu'on a mutilé à les travers les âges en l'utilisant comme carrière de marbre.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La musique qui accompagne la première scène est sublime. On dirait du Howard Shore. Beaucoup d'autres passages musicaux sont tout aussi sublimes.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un certain critique (Bernard Achour) a parlé de ce gladiateur comme d'un soldat Ryan en jupette.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Oscars 2001. </b>Cinq statuettes : film, acteur, costume, son, effets visuels</span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><div><span><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 1er avril 2001 sur VHS à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 362ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></span></div><div><span><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></span></div><p style="text-align: justify;"><br /></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-11793424585039459012024-02-04T18:46:00.000-05:002024-02-04T18:46:38.810-05:00361. Lee : Tigre et dragon<p><b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : Tigre et dragon</span></b></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBKfc-TZeeYS1r8EilHqCTCHbBkNCOerRZZMdKunPt51Gfa5iRtMRjyqbplBtUWCoI6SnNCNEzEohhHtGrSN3IVUpCOZxFAMNiq-NPDmNdTkVhJC4PoBcHY9l9aXu710B2ZsSKnoVaK4UQ9pZUMrMAS7k9Gtg6whslr1XRLa9SVZ8BgNEgtK4ieBYKM0Y/s579/Tigre%20et%20dragon.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="579" data-original-width="425" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiBKfc-TZeeYS1r8EilHqCTCHbBkNCOerRZZMdKunPt51Gfa5iRtMRjyqbplBtUWCoI6SnNCNEzEohhHtGrSN3IVUpCOZxFAMNiq-NPDmNdTkVhJC4PoBcHY9l9aXu710B2ZsSKnoVaK4UQ9pZUMrMAS7k9Gtg6whslr1XRLa9SVZ8BgNEgtK4ieBYKM0Y/s320/Tigre%20et%20dragon.png" width="235" /></a></div><br /><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film réalisé en 2000 par Ang Lee</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Michelle Yeoh, Chow Yun-Fat, Zhang Ziyi, Chen Chang</div></span><div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Scénario de James Schamus d'après le livre de Du Lu Wang.</span></div><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Je vais dire comme les Anglais, les films d'arts martiaux ne sont pas ma tasse de thé. Mais celui-ci m'a complètement séduit. La chorégraphie des combats, empruntant à la magie (et aux câbles dissimulés), sont d'une grande beauté et fait, pour moi, tout l'intérêt du film. Les auteurs de cette chorégraphie avaient déjà fait valoir leur talent dans le film<i> Matrix </i>en 1999.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Me tape un peu sur les nerfs, la quantité importante de dictons style <i>Tout est illusoire, seul compte l'élan du </i></span><span style="font-size: medium;"><i>cœur. </i>On nous en sert un peu trop, surtout par la bouche du grand maître Li Mu Bai (Chow Yun-Fat). C'est une pratique que l'on retrouve souvent dans les films qui se passent en Chine et aussi dans les film d'arts martiaux. Ça fait un peu biscuit chinois.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La bataille dans l'auberge (la jeune fille contre cinquante méchants) est une prouesse de mise en scène. C'est un rappel de la bataille de saloon obligatoire dans tout western qui se respecte. On ne se fatigue pas de la regarder.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Les passages au violoncelle sont exécutés par le grand Yo Yo Ma.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Oscars 2001.</b> Quatre statuettes : meilleur film en langue étrangère, direction artistique, photographie, musique.</span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><div><span><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 31 mars 2001 au cinéma Quartier Latin à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 361ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider.</b></span></span></div></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-68385564079430139502024-02-03T12:09:00.000-05:002024-02-03T12:09:12.822-05:00360. Wong Kar-Wai : In the Mood for Love<p><span style="font-size: medium;"><b>1001 films de Schneider : In the Mood for Love</b><br />Les silences du désir </span></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhol4OWRiU5feXcCwX77VJ6w9VhEt7EwinEFkckBKkFYonBzqkNCwCvt-G4sX6GLoc35QJ2B6QT2J_0xjpArTUvBcZmHxaggO4THsrLVmJwjXGWbLImqjc5KBcqpyuJRPd2CeLSCqAp54s0TQ8iAJYZbH_phKIm7drhA84dUSp2jOZC8NMxuXlhQhRkQGs/s529/In%20the%20Mood%20for%20Love.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="529" data-original-width="387" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhol4OWRiU5feXcCwX77VJ6w9VhEt7EwinEFkckBKkFYonBzqkNCwCvt-G4sX6GLoc35QJ2B6QT2J_0xjpArTUvBcZmHxaggO4THsrLVmJwjXGWbLImqjc5KBcqpyuJRPd2CeLSCqAp54s0TQ8iAJYZbH_phKIm7drhA84dUSp2jOZC8NMxuXlhQhRkQGs/s320/In%20the%20Mood%20for%20Love.png" width="234" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><br /></span><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film hongkongais réalisé en 2000 par Wong Kar-Wai</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Maggie Cheung (madame Chan), Tony Leung Chiu-way (monsieur Chow)</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Hong Kong 1962. Chronique d'une liaison avortée.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Un homme et une femme dont les conjoints sont amants dérivent lentement vers une liaison amoureuse qui n'aura pas lieu. Jamais l'on ne sait ou devine ce qui les mène vers le refus de vivre cet amour. C'est ce qui fait la beauté de ce film.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Dans les extras accompagnant le dvd, on retrouve deux séquences abandonnées qui auraient diminué le film : une scène d'amour et la séquence hollywoodienne où les deux amants se retrouvent à la fin du film dans un temple d'Angkor.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Les robes de madame Chan sont éblouissantes. Elles suivent toutes le modèle cheongsam : haut col et ouverture sur le côté de la cuisse.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Le thème musical est envoutant. Bizarrement, il y a aussi des standards latinoaméricains interprétés par Nat King Cole. On ne voit pas ce que ce type de chansons a à voir avec le Hong Kong de 1962. Elles étaient probablement populaires à cette époque. Pour ma part, elles me faisaient penser aux nuit endiablées de Montréal des années 40 avec Alys Roby en haut de l'affiche.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Déjà, des personnages évoquent les problèmes qu'apportera la cession de Hong Kong à la Chine en 1997 en prévoyant le quitter.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">On se demande ce que vient faire la séquence où l'on voit le Général de Gaulle défiler dans les rues de la capitale du Cambodge sous l'acclamation de centaines de milliers de Cambodgiens.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">La chambre d'hôtel où se rencontrent les amants porte le numéro 2046, titre du film que Wong Kar-Wai tournera quatre ans plus tard. Les deux acteur s'y retrouvent avec leur même nom de personnage, une sorte de suite à <i>In the Mood for Love.</i></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><b>Cannes 2000. </b><span>Meilleur acteur et Grand prix technique</span></div></span><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;"><b>Césars 2001.</b> Meilleur film étranger</div><div style="text-align: justify;"><b style="font-weight: bold;">Cahiers du Cinéma 2000.</b> Parmi les dix meilleurs films de l'année.</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Critique. </b><i>Cahiers du Cinéma.</i> Numéro 551. Novembre 2000</span></p><div><span><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 20 mars 2001 au cinéma du Quartier Latin à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 360ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></span></div><p><span style="font-size: medium;"></span></p><div><span><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></span></div><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-73882757966865158612024-01-23T17:16:00.002-05:002024-01-24T11:19:10.771-05:00359. Ruiz : Trois vies et une seule mort<p><b> <span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : Trois vies et une seule mort</span></b></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikZYvcOArxELf_16vRA8RD6Hq3UuNNmWy8EpVvNWpZ2Q4aPmC1NVNBFkWxdontyEBtTUoBGchtQDgdhsQC0vMe_6RFkmBkVmPzpJ1qTdIGPNozlamNX8Dr3G1yAcL8hmTHgnxv67Mwa3aB18556s9ttK6f38Sjgx17X_EZWOjvQ4H2UmNx8LGeWYV5pmg/s528/Trois%20vies%20et%20une%20seule%20mort.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="528" data-original-width="441" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikZYvcOArxELf_16vRA8RD6Hq3UuNNmWy8EpVvNWpZ2Q4aPmC1NVNBFkWxdontyEBtTUoBGchtQDgdhsQC0vMe_6RFkmBkVmPzpJ1qTdIGPNozlamNX8Dr3G1yAcL8hmTHgnxv67Mwa3aB18556s9ttK6f38Sjgx17X_EZWOjvQ4H2UmNx8LGeWYV5pmg/s320/Trois%20vies%20et%20une%20seule%20mort.png" width="267" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><br /></span><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film français réalisé en 1996 par Raoul Ruiz</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Marcello Mastroianni, Anna Galiena, Marisa Paredes, Melvil Poupaud, Chiara Mastroianni, Arielle Dombasle, Féodor Atkine, </div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Rohmer qui aurait fumé un gros joint. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un début tout à fait surréaliste à vous arracher les cheveux en quête de sens.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Pour simplifier ce qui ne peut l'être, disons que c'est l'histoire d'un homme qui souffre de personnalités multiples (4, rien que ça). Avec cette idée, en toile de fond, l'histoire commence à faire du sens.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Retenons de ce film, une performance extraordinaire de Marcello Mastroianni. On dirait un film hommage à ce grand comédien qui devait décéder quelques mois après la sortie du film.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>Quelques passages en référence au livre de Carlos Castaneda, <i>Le Voyage à Ixtlan : les leçons de Don Juan</i>. Ce livre des années 1970 a fait bien des ravages dans les colonies hippies de l'époque. On ne jurait que par son personnage vedette, Don Juan, chaman de sa profession, qui devait ouvrir les portes de notre inconscient pour vous amener vers la Vérité. Plus d'un, dont je suis, en lisant ce livre, tout en fumant un joint, ont fait un beau voyage. Nous ramener ce livre en 1996, ça fait un peu dissonant comme feraient dissonances les chemises à fleurs, le symbole Peace, </span><span>les communes</span><span> et autres artefacts de l'époque hippie.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un gros plus : Paris en fond de scène.</span></p><div><span><div><span style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Critique. </b><i>Cahiers du Cinéma</i>. Numéro 502. Mai 1996.</span></span></div><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></b></div><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 2 janvier 2001 sur VHS à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 359ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></span></div><div><span><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></span></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-45534279371055170132024-01-20T11:31:00.000-05:002024-01-20T11:31:09.872-05:00358. Altman : The Player<p><span style="font-size: medium;"><b>1001 films de Schneider : The Player </b><br />Le Meneur</span></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjglGV0ohDf-Y6Bz6yXUdNB6bqFxiTUnkVQEjDcerD2HOgjIeQo_ZG-GFWGCiuTaazBQM6-HdIeu-ICdn-oal1WW6JUnEhwawaORW_tYVhyphenhyphenF_apdMsBHSczWMkeP2nNoVC0yvUM72bYGAa8Mx3zfah5b3Bp8FW8QEESgVFNnUl7qu6Vj6nJVDsECNwkJxI/s583/The%20Player.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="583" data-original-width="507" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjglGV0ohDf-Y6Bz6yXUdNB6bqFxiTUnkVQEjDcerD2HOgjIeQo_ZG-GFWGCiuTaazBQM6-HdIeu-ICdn-oal1WW6JUnEhwawaORW_tYVhyphenhyphenF_apdMsBHSczWMkeP2nNoVC0yvUM72bYGAa8Mx3zfah5b3Bp8FW8QEESgVFNnUl7qu6Vj6nJVDsECNwkJxI/s320/The%20Player.png" width="278" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><br /><div style="text-align: justify;">Film américain réalisé en 1992 par Robert Altman</div><span><div style="text-align: justify;">Avec Tim Robbins, Greta Scacchi, Fred Ward, Whoopi Goldberg, Peter Gallagher, Vincent D'Onofrio, Dean Stockwell, Sydney Pollack, Lyle Lovett.</div><div style="text-align: justify;">Scénario de Michael Tolkin d'après son roman éponyme. </div></span><span><div style="text-align: justify;">La présence de 65 personnalités du cinéma qui n'ont qu'un rôle de figurant. J'en connais 27. </div></span></span><p></p><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Pour une fois, la traduction française du titre est plus fidèle à l'esprit du film que le titre anglais. Parce que c'est bien l'harceleur anonyme (le corbeau) qui mène le directeur de production là où il veut l'amener : accepter son scénario avec un happy ending, au grand soulagement du directeur de production.</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;"><br /></div><span><div style="text-align: justify;">Un film qui se penche, cyniquement, sur la machine d'Hollywood. Autour de cette intrigue principale, on voit comment sont fabriqués les films hollywoodiens : d'abord des stars, un peu de sexe, un peu de violence puis, surtout, un happy ending. Comble d'ironie, le film d'Altman se termine par un happy ending avec ce morceau de dialogue qui aurait du devenir célèbre : ''What took you so long?'' ''Traffic was a bitch!''</div></span></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le plan-séquence d'ouverture de 8 minutes nous inonde de dialogues qui tournent autour du cinéma à Hollywood. C'est un vrai tourbillon de personnages (une vingtaine) qui s'entrecroisent en dialoguant sur le cinéma. Certains considèrent ce plan-séquence d'ouverture parmi les plus célèbres, le meilleur étant celui de <i>Touch of Evil</i> d'Orson Welles.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Cannes 1992.</b> Tim Robbins, meilleur acteur et Robert Altman, meilleur réalisateur</span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><div><span><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 1er janvier 2001 sur VHS à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 358ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></span></div><div><span><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></span></div><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-13491740661078387492024-01-19T13:55:00.000-05:002024-01-19T13:55:49.046-05:00357. Lee : The Ice Storm<p><span style="font-size: medium;"><b>1001 films de Schneider : The Ice Storm</b><br />La Tempête de glace</span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizYamggUn1AuELkTwjOb-iLMMVrJ6klr_mkago-pfU5I_MTSsTI5SH5oKLno9mw6RmsU8TTJkr1KbfZ3CWjC4Lsl2xW8trTtbujrLD4V8dbWpSE7qZSIKbWQVU0rggvV8_EvH033q9hqjdm8WzZSHvjneXnhGqm27DsVIww-GIR6s3hVCJC6msM368qbQ/s426/The%20Ice%20Storm.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="426" data-original-width="263" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEizYamggUn1AuELkTwjOb-iLMMVrJ6klr_mkago-pfU5I_MTSsTI5SH5oKLno9mw6RmsU8TTJkr1KbfZ3CWjC4Lsl2xW8trTtbujrLD4V8dbWpSE7qZSIKbWQVU0rggvV8_EvH033q9hqjdm8WzZSHvjneXnhGqm27DsVIww-GIR6s3hVCJC6msM368qbQ/s320/The%20Ice%20Storm.png" width="198" /></a></span></div><span style="font-size: medium;"><br /><div style="text-align: justify;">Film américain réalisé en 1997 par Ang Lee</div><div style="text-align: justify;">Avec Kevin Kline, Joan Allen, Sigourney Weaver, Christina Ricci, Tobey Maguire, Elijah Wood, Katie Holmes</div><div style="text-align: justify;">D'après le roman de Rick Moody, <i>The Ice Storm</i></div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Les jeux de l'amour et du hasard dans une banlieue de New York en 1973, en deux versions parallèles : adolescents en quête de leurs premières expériences sexuelles et couples mariés à la dérive. La tempête de verglas, à la fin du film, comme une malédiction, mettra un terme aux incartades des personnages, pour le moment, du moins.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>Le film se passe autour de la Thanksgiving Day qui est le moment familial le plus rassembleur de l'année. On a même droit à des extraits de la parade Macy's sur la 5ème avenue à travers les fenêtres d'un appartement. </span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>En fond de scène, le Watergate et la gueule de Nixon. À un moment donné, une adolescente porte une cagoule à l'effigie de Tricky Dick, expression utilisée à l'époque pour le caractériser. Autre formule caractérisant Nixon : </span><span>''Would you buy a used car from this man ?''</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Beaucoup de jeunes acteurs (Maguire, Ricci, Wood, Holmes) deviendront célèbres.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Chemin de traverse : Le titre du film et les dernières séquences de celui-ci m'ont renvoyé à la tempête de verglas qui a plongé la région montréalaise dans l'obscurité pendant 8 jours en janvier 1998. Sans chauffage, on a réussi, grâce à notre foyer à bois, à demeurer dans notre maison centenaire au cœur du quartier Notre-Dame de Grâce.</span></p><p><span style="font-size: medium;"><b>Cannes 1997.</b><span> James Schamus, meilleur scénario</span></span></p><p><span style="font-size: medium;"><b>Critique. </b><i>Cahiers du Cinéma.</i> Numéro 522. Mars 1998</span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><div><span><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 25 novembre 2000 à la télévision à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 357ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></span></div><div><span><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></span></div><p><span style="font-size: medium;"><br /></span></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-89530619371352107412024-01-18T17:08:00.000-05:002024-01-18T17:08:01.980-05:00356. Anderson : Boogie Nights<p><span style="font-size: medium;"><b>1001 films de Schneider : Boogie Nights</b><br />Nuits endiablées<br />Film supprimé de la liste en 2011 mais rajouté en 2013</span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjP446kuHtKAsNVRpQqe0oHSOapaZ82CFWCrMKed-aWfKiZXpTqhWz6Q1OgbtYBO4ah4sZ-TsjHjD_p2rDWhnzzUdhYojcuOhAAf1lVwyyOGGg1D1FHdPgStaLj9iPubQbejifjvgilCATrJ72Jc71AZkE5IQ8-whAXJY2dnpV1KALFVhJabpH1nxlMxLY/s583/Boogie%20Nights.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="583" data-original-width="393" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjP446kuHtKAsNVRpQqe0oHSOapaZ82CFWCrMKed-aWfKiZXpTqhWz6Q1OgbtYBO4ah4sZ-TsjHjD_p2rDWhnzzUdhYojcuOhAAf1lVwyyOGGg1D1FHdPgStaLj9iPubQbejifjvgilCATrJ72Jc71AZkE5IQ8-whAXJY2dnpV1KALFVhJabpH1nxlMxLY/s320/Boogie%20Nights.png" width="216" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><br /></span><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film américain réalisé en 1997 par Paul Thomas Anderson</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Mark Wahlberg, Burt Reynolds, Luis Guzman, Julianne Moore, Heather Graham, Philip Seymour Hoffman, William H. Macy, John C. Reilly, Alfred Molina</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Une plongée vertigineuse dans le cinéma porno du tournant des années 1980 (1978-1983). Anderson tourne en ridicule ce type de cinéma et ses différents participants. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">On a droit à l'étalage de toute la mode de cette époque : danse en ligne, vêtements clinquants, disco, cocaïne, sexe débridée d'avant la période du sida, sans oublier le miroir au-dessus du lit. Ajouter à cela 33 chansons de l'époque et vous avez un tableau du début des années 1980.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La montée rapide et la chute tout aussi rapide d'un acteur porno, Dirk Diggler, personnifié par Mark Wahlberg, dont une des activités du début de carrière était de poser comme modèle pour les dessous de Calvin Klein.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Une séquence hilarante : en plein milieu d'une scène de baise, l'arrêt du tournage afin de changer le magasin de la caméra.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Dernier plan : une prothèse pénienne de 30 centimètres, ce qui résume ainsi le peu d'envergure du cinéma porno bas de gamme qui allait prendre son envol avec l'arrivée de la vidéocassette. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Je me rappelle du club vidéo près de chez-moi qui dédiait une pièce spécialisée pour les cassettes de porno, appelées aussi XXX. C'est assez délirant de constater que tout ça n'aura vécu que 20 ans, l'espace d'une génération.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: left;">Critique.</b><span style="text-align: left;"> </span><i style="text-align: left;">Cahiers du Cinéma. </i><span style="text-align: left;">Numéro 522. Mars 1998</span></span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><div><span><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 2 juillet 2000 sur VHS à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 356ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></span></div><div><span><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></span></div><p><span style="font-size: medium;"><br /></span></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-90461844374308832822024-01-18T10:30:00.000-05:002024-01-18T10:30:01.347-05:00355. Singer : The Usual Suspects<b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : The Usual Suspects</span></b><div><span style="font-size: medium;">Suspects de convenance<br /></span><div><b><span style="font-size: medium;"><br /></span></b></div><div><div class="separator" style="clear: both; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXcN88_MRRzIvqS7qY1wjom6m9IHI7wDLTYes9MAgclJCohVN-eXjb-1h-IhNdTjhNULTRfO1tAdHBBCqxea4tNQfsmJV8GGrJ13Zqi5k9EknvWUddU53NBFMMjXlA2mjCx2FaqFNisWP0P32NRtgA-fr9At4-R7b8Ox3GidjExS_Y79TFpnkVBvz0hCI/s441/Usual%20Suspects.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="441" data-original-width="416" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXcN88_MRRzIvqS7qY1wjom6m9IHI7wDLTYes9MAgclJCohVN-eXjb-1h-IhNdTjhNULTRfO1tAdHBBCqxea4tNQfsmJV8GGrJ13Zqi5k9EknvWUddU53NBFMMjXlA2mjCx2FaqFNisWP0P32NRtgA-fr9At4-R7b8Ox3GidjExS_Y79TFpnkVBvz0hCI/s320/Usual%20Suspects.png" width="302" /></a></div><br /><span style="font-size: medium;">Film américain réalisé en 1995 par Bryan Singer</span></div><div><span style="font-size: medium;">Avec Gabriel Byrne, Kevin Spacey, Stephen Baldwin, Benicio del Toro, Giancarlo Esposito, Chazz Palminteri, Pete Postlethwaite, Suzy Amis, Kevin Pollack</span></div><div><span style="font-size: medium;">Scénario de Christopher McQuarrie</span></div><div><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La première réaction après avoir vu ce film c'est de le revoir à nouveau afin de comprendre ce qu'on a vu. À mettre dans le même lot, <i>Memento</i> de Christopher Nolan. </span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>Une histoire machiavéliquement complexe doublée d'un montage tout aussi complexe qui vise, on en a l'impression, à frustrer le spectateur. </span><span>Si vous aimez les puzzles, ce film est pour vous.</span></span></div></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>L'entourloupette de la fin est totalement inattendue et improbable, ce qui en fait probablement le point marquant de ce film.</span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Oscars 1996.</b> Deux statuettes : second rôle à Kevin Spacey et scénario à Christopher McQuarrie.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Critique.</b> <i>Cahiers du Cinéma.</i> Numéro 494. Septembre 1995.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 21 juin 2000 sur VHS à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 355ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></span></div><div><span style="font-size: large;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></span></div><div><span style="font-size: large;"><br /></span></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-27849584517063118502024-01-17T11:39:00.002-05:002024-01-18T15:30:06.950-05:00354. Fincher : Fight Club<span style="font-size: medium;"><b>1001 films de Schneider : Fight Club </b></span><div><span style="font-size: medium;"><b><br /></b></span></div><div><span style="font-size: medium;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhI2lkguovXqSWLDe6Kr3S3sh0GTcCHb7W3-TEv6rpnUtg-Ooa4cuZrNJzXbe6-P2PySSo_Jg01zmrGcARuvXSEbqkquXJln7BVCAWXnEZuHcSnaZHeIxZ9LYpekvSchdsFDWaDXYVShbbf6PGMWMh30qJ7WK1t5-ySOBJjGr_9DVXR_QR5gmvrVRYuG1s/s594/Fight%20Club.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="594" data-original-width="398" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhI2lkguovXqSWLDe6Kr3S3sh0GTcCHb7W3-TEv6rpnUtg-Ooa4cuZrNJzXbe6-P2PySSo_Jg01zmrGcARuvXSEbqkquXJln7BVCAWXnEZuHcSnaZHeIxZ9LYpekvSchdsFDWaDXYVShbbf6PGMWMh30qJ7WK1t5-ySOBJjGr_9DVXR_QR5gmvrVRYuG1s/s320/Fight%20Club.png" width="214" /></a></div><br /><div style="text-align: justify;">Film américain réalisé en 1999 par David Fincher</div></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Avec Edward Norton, Brad Pitt, Helena Bonham Carter, Meat Loaf, Zach Grenier, Richmond Arquette</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Scénario d'après le roman de Chuck Palahniuk</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Ce film est une bombe. Dans cet univers aux portes de l'apocalypse, on ne se sent pas bien durant tout le film. </span></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le Fight Club, d'abord un club où, pour aucune raison, on se tape sur la gueule, devient un groupe de terroristes qui s'amusent à détruire les symboles de la société de consommation. La chute des tours, à la fin du film, est un mauvais présage de ce qui se passera deux ans plus tard au cœur de Manhattan. Ceci s'ajoute à l'horreur déjà présent tout au long de ce film.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un bon film pour adolescents révoltés contre la société de consommation. </span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La citation du film : ''La capote est la pantoufle de vair de notre génération'' dixit le personnage joué par la seul femme du film, (Helena Bonham Carter). À mettre en parallèle avec le projectionniste (Pitt) qui s'amuse à intercaler une image de pénis dans le film <i>Cendrillon</i>.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le personnage principal (Norton) souffre d'insomnie. Avec ce film, il risque de nous entrainer dans sa pathologie si on n'y est pas déjà, comme moi. On peut légitimement penser que son insomnie sévère lui apporte des hallucinations dont le personnage de Tyler (Pitt) est la création. Une sorte d'alter ego qui fait monter à la conscience toutes ses récriminations contre la société de consommation. Ce n'est qu'une hypothèse proposée par ce film polysémique.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Prouesse : Meat Loaf, affublé de glandes mammaires, qui participe à un groupe de discussion d'hommes qui ont le cancer des testicules.</span></div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Critique.</b> <i>Cahiers du Cinéma. </i>Novembre 1999. Numéro 540</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="font-size: medium;"><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 26 mai 2000 sur VHS à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Mon 354ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></span></div><div><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="font-size: medium;"><br /></span></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-38412712598775726762023-12-21T11:20:00.002-05:002023-12-21T11:20:27.275-05:00353. Jonze : Being John Malkovich<span style="font-size: medium;"><b>1001 films de Schneider : Being John Malkovich</b></span><div><span style="font-size: medium;">Dans la peau de John Malkovich</span></div><div><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHCsufpUjiWJM4Fbe5YLMz4m7nIvaCefsQvWFik_9dR8fUBHAeCZuzkMnoR7xCz6BQf86osmtr7H7NXbwma8a0Upw7xqFg5oXdQtf-8ND36xmluYO_ls8eriVqDQgWTSx8c3sor_59OtLHVXeXZexKPyQIlL_W03xmu8weloX_y4Ogr_cnwRE7LbJ6wgs/s596/Being%20John%20Malkovich.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="596" data-original-width="400" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhHCsufpUjiWJM4Fbe5YLMz4m7nIvaCefsQvWFik_9dR8fUBHAeCZuzkMnoR7xCz6BQf86osmtr7H7NXbwma8a0Upw7xqFg5oXdQtf-8ND36xmluYO_ls8eriVqDQgWTSx8c3sor_59OtLHVXeXZexKPyQIlL_W03xmu8weloX_y4Ogr_cnwRE7LbJ6wgs/w215-h320/Being%20John%20Malkovich.png" width="215" /></a></div><br /><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film américain réalisé en 1999 par Spike Jonze</span></div></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Avec John Cusack, Cameron Diaz, Catherine Keener, John Malkovich, Ned Bellamy, Charlie Sheen</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Scénario de Charlie Kaufman.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un film comme un kaléidoscope. </span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Aucun sens à trouver ou bien polysémique, c'est selon votre disposition. Moi, j'ai arrêté de chercher un sens à peu près au moment où John Malkovich devient multiple. Je me suis juste laissé porter par les images jusqu'à la fin sans y chercher quelque signification, quelle qu'elle soit.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>Un portail situé au septième étage et demi (on pense à la voie neuf et trois-quarts de la gare dans </span><i>Harry Potter)</i><span> d'un immeuble de Manhattan permet de vivre quinze minutes dans la tête de John Malkovich avant d'être éjecté sur le bord d'une autoroute du New Jersey.</span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Une œuvre de marionnettes époustouflante. Je suis certain que vous n'avez jamais rien de tel. Ma dernière expérience de marionnettes a été celle vue dans un petit théâtre de la ville de Takayama au Japon en 2016. C'était une belle prestation mais en-deçà de celles vues dans <i>Being John Malkovich.</i></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><i><br /></i></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDqfrxVxWq4wG5nTC0Cian1L7B0cSNi3YJKunjaio4zW9ElVSjAX6eb0frBbG7knD7YEmgO-HfLnbuuxlHkknzpY0bGnfP7HogaeyGzQ9hzeueW3rbLN_Xx3rJOxxcaZcvdzQaD0TgkcW7kW_8v4xQdmPe9kJP2yTvebs-BcGB8hPh8jMXU9ss8xppqo8/s754/Takayama.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="388" data-original-width="754" height="330" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDqfrxVxWq4wG5nTC0Cian1L7B0cSNi3YJKunjaio4zW9ElVSjAX6eb0frBbG7knD7YEmgO-HfLnbuuxlHkknzpY0bGnfP7HogaeyGzQ9hzeueW3rbLN_Xx3rJOxxcaZcvdzQaD0TgkcW7kW_8v4xQdmPe9kJP2yTvebs-BcGB8hPh8jMXU9ss8xppqo8/w640-h330/Takayama.png" width="640" /></a></div><div style="text-align: center;">Takayama en hiver</div></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Une Cameron Diaz méconnaissable.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Caméos de Johnny Depp et de Brad Pitt.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Venise 1999. </b>Deux prix mineurs</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Lecture cinéphilique.</b><i> Le Ruisseau des Singes</i>, autobiographie de Jean-Claude Brialy. Une tempête de <i>name-dropping. </i>À part la partie consacrée sur sa vie jusqu'à 18 ans, très peu d'introspection. Tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil. Pas un mot sur son homosexualité avant la page 414 sur un récit qui en contient 419. </span></div><div><span style="font-size: medium;"><div><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 6 mai 2000 sur VHS à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><div><b style="text-align: justify;">Mon 353ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></div><div><b style="text-align: justify;"><br /></b></div></span><p style="font-size: medium;"></p></span></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-66478345767141856102023-12-06T22:09:00.000-05:002023-12-06T22:09:13.758-05:00352. Night Shyamalan, M. : The Sixth Sense<p><b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : The Sixth Sense</span></b></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzbULpI8Fx8engasddHNpY9Pj8h6W_gU1eewZh8ZuME7j6EpcElBykoGq4umiwQO9OXTcdu5mh3VEORMJ2Fa3-Z9yycW-eO7AkRfD0Ha8h_gEFpfftw5EeHDb3TPR-KUfLKYNlFmZu9yBuaQlXBPMjIFtsI5hqTeADjHT78egUK0pGq-b5f4EI5Q2Kp3Y/s592/Sixth%20Sense.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="592" data-original-width="398" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjzbULpI8Fx8engasddHNpY9Pj8h6W_gU1eewZh8ZuME7j6EpcElBykoGq4umiwQO9OXTcdu5mh3VEORMJ2Fa3-Z9yycW-eO7AkRfD0Ha8h_gEFpfftw5EeHDb3TPR-KUfLKYNlFmZu9yBuaQlXBPMjIFtsI5hqTeADjHT78egUK0pGq-b5f4EI5Q2Kp3Y/s320/Sixth%20Sense.png" width="215" /></a></div><br /><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-family: times; font-size: medium;">Film américain réalisé e 1999 par M. Night Shyamalan</span></div><span style="font-family: times; font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Bruce Willis, Haley Joel Osment, Toni Collette, Olivia Williams, Trevor Morgan</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times; font-size: medium;">Si vous aimez les histoires de fantômes, vous serez bien servis. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times; font-size: medium;">Mais c'est pas sûr que vous allez pardonner au réalisateur de vous avoir mené en bateau. La finale du film peut être ressenti comme une gifle pour vous sortir de votre ébahissement ou de votre ennui, c'est selon. Et vous aurez perdu beaucoup de temps à essayer, inutilement, de diagnostiquer les comportements du petit Cole - merveilleuse interprétation de Haley Joel Osment.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times; font-size: medium;">Heureusement, il y a quelques scènes mémorables. Celle, entre autres, de la découverte (grâce à Cole) par un père dont la fille vient de mourir que c'est sa propre femme qui a tué leur fille en l'empoisonnant quotidiennement.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times; font-size: medium;">Celle, également, de la maman de Cole (Toni Colette) qui reçoit, par l'entremise des dons de Cole, une inespérée gratification de la part de sa mère, décédée depuis longtemps.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times; font-size: medium;">Il y a de belles choses dans ce film, la moindre n'étant pas le personnage interprété tout en subtilités par Bruce Willis, psychiatre fantôme, déambulant dans le royaume des vivants et que seule Cole peut voir. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times; font-size: medium;">Ce film est tout un embrouillamini où chacun cherche son corps, vivant ou mort.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Pour une rare fois, je vais proposer un film en lieu et place de <i>The Sixth Sense </i>dans la liste de Schneider. Hier, j'ai vu <i>Opening Night </i>de John Cassavetes, une œuvre magistrale sur le théâtre et le métier de comédien plus précisément de comédienne vieillissante. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: times;"><b>Critique. </b><i>Cahiers du Cinéma. </i>Janvier 2000. Numéro 542. </span><span style="background-color: white; color: #333333; font-family: times;"><i>Le Sixième Sens</i> est le premier film intello chiant de l'année. </span><span style="font-family: times;">Par Olivier Joyard.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><b style="font-family: times; font-size: large;">Visionné, la première fois, le 29 avril 2000 sur VHS à Montréal. <br /></b><b style="font-family: times; font-size: large;">Mon 352ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></p><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></div><p><span style="font-size: medium;"><br /></span></p><p><span style="font-size: medium;"><br /></span></p><p><span style="font-size: medium;"><br /></span></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-24411373739696005032023-12-04T20:23:00.001-05:002023-12-05T13:40:05.597-05:00351. Wang : Smoke<p><span style="font-size: medium;"><b>1001 films de Schneider : Smoke</b><br />Nicotine</span></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_j2HOSsdfsYKncODBYgvhC1UAIAAuJUuzEdRWfeLjRqso_4SCrc2kEhBx-YYCfIj4TedH4lVYY8YGEhed8o4Q9iC-jhVYMFGvOuISU-0h2YU8mSczLvkkoSL4RGssgl_2NTsxT0Twk7B27QReJGckX8gGbqyV9mnhp1dKsL1xIvubwOclOLB6yFyidZY/s536/Smoke.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="536" data-original-width="369" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh_j2HOSsdfsYKncODBYgvhC1UAIAAuJUuzEdRWfeLjRqso_4SCrc2kEhBx-YYCfIj4TedH4lVYY8YGEhed8o4Q9iC-jhVYMFGvOuISU-0h2YU8mSczLvkkoSL4RGssgl_2NTsxT0Twk7B27QReJGckX8gGbqyV9mnhp1dKsL1xIvubwOclOLB6yFyidZY/s320/Smoke.png" width="220" /></span></a></div><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: left;"><span style="font-size: medium; text-align: justify;">Film américain réalisé en 1995 par Wayne Wang</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Sur un scénario du romancier américain Paul Auster</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Harvey Keitel, Forest Whitaker, Stockard Channing, William Hurt, Harold Perrineau, </div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">À partir d'un bureau de tabac situé au coin de la 3ème rue et de la 7ème avenue à Brooklyn, une série d'histoires qui ont toutes à voir avec le personnage central, Auggie (Keitel) le tenancier du bureau de tabac.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Sympathique mais une coche plus basse que sa suite <i>Face in the Blue</i> qui, lui, aurait mérité de faire partie des 1001 films de Schneider à sa place.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">Deux moments intéressants :</div><div style="text-align: justify;">1. Paul (William Hurt) qui feuillette le cahier de photographies que lui présente Auggie. Il est estomaqué de voir que ce sont toutes des photos qui ont le même plan : le bureau de tabac. En fait, il s'agit d'un concept élaboré par Auggie. Tous les jours à 8 heures du matin, il photographie le bureau de tabac à partir du coin de la 3ème rue et de la 7ème avenue. Ces 4000 clichés, Auggie les appelle la mémoire de son quartier. Le moment fort arrive quand Paul, un peu ennuyé de visionner tous ces clichés apparemment semblables, découvrent sa femme déambulant sur le trottoir, elle qui est décédé il y a seulement quelques mois d'une balle perdue lors d'un échange de coups de feu.</div><div style="text-align: justify;"><br /></div><div style="text-align: justify;">2. Le conte de Noël qui clôture le film, accompagné d'une chanson bouleversante de Tom Waits, <i>Innocent When Your Dream. </i></div></span><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>La suite</b></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><i><b>Face in the Blue</b></i> (<i>La Tabagie en folie)</i>.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La même année Wang et Auster tournent une suite à <i>Smoke.</i></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><i><br /></i></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">En fait, un film plus intéressant que <i>Smoke</i> qui mériterait d'être dans les 1001 films de Schneider plutôt que ce dernier. C'est pour cela que je m'y attarde plus longtemps.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><div><span style="font-size: medium;">Un quartier de New York : Brooklyn. Un lieu : une tabagie (un bureau de tabac pour les Français) qu'on appellerait, en québécois, un dépanneur ou kombini, en japonais. Des personnages : le typique melting pot américain dont le film est le sujet principal. Face in the Blue<i>,</i> c'est le multiculturalisme dans un dé à coudre.</span></div><div><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="font-size: medium;">Ce qui fait l'intérêt du film, c'est la rencontre d'une multitude de personnages, plus insolites les uns que les autres, qui nous démontre que la diversité ethnique est un passage obligé pour le monde urbain, pour le pire (formation de ghetto identitaire) ou le meilleur (la main tendue entre les groupes d'origine ethnique différente). Le film met ses jetons sur le meilleur.</span></div></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">En vrac : </span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Madonna en télégramme chantant. Y a pire comme télégramme.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Lou Reed qui monologue sur des sujets pas très intéressants.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Jim Jarmusch qui épilogue sur le plaisir de la nicotine tout en fumant sa dernière cigarette avec des extraits d'un film de guerre dans lequel Richard Conte emprunte des cibiches.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le personnage de Jackie Robinson qui tente de convaincre le propriétaire de la tabagie de ne pas la mettre en vente. Joueur étoile des Dodgers de Brooklyn qui fut le premier noir à entrer dans les ligues majeures de baseball après son passage dans le club-ferme des Royaux de Montréal.</span></div><div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsG1Fc9xD_81hrK2sxgMrW9vI_avjBWppmy0oohuFsOE-pf8otu5HK8F2gjko9CEMT592PTe-YMZMKuNyfqY1BEDJUmJUEKW07r-hWAEE3YMcXa_bdRK0WAp_IBZ2es1O_vVvcpKFjhlQteLdddWXJOJ1_p-rzsAMNiGLf6AjnxjT0nu9QikRQwtIIMrs/s613/Jackie%20Robinson%20murale.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="591" data-original-width="613" height="309" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhsG1Fc9xD_81hrK2sxgMrW9vI_avjBWppmy0oohuFsOE-pf8otu5HK8F2gjko9CEMT592PTe-YMZMKuNyfqY1BEDJUmJUEKW07r-hWAEE3YMcXa_bdRK0WAp_IBZ2es1O_vVvcpKFjhlQteLdddWXJOJ1_p-rzsAMNiGLf6AjnxjT0nu9QikRQwtIIMrs/s320/Jackie%20Robinson%20murale.png" width="320" /></span></a></div><div style="text-align: center;"><span style="font-size: medium;">Jackie Robinson. 3907 boulevard St-Laurent à Montréal</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: center;"><br /></div></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>Le déménagement des Dodgers de Brooklyn à Los Angeles à l'hiver 1958 est considéré comme un immense traumatisme par le gens de Brooklyn. </span><span>Ebbets Field, le terrain sur lequel évoluaient les Dodgers, est démoli le 28 février 1960 pour faire place à un complexe d'habitation. </span></span></div><div style="text-align: justify;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKoRO_ykMPa8k4lvbwPCX9KTBHAKaMr4J7QjZJ_GA_dxtadLB3tGnA9I_TUAHLGHlH_YrMJ3WtWJWcpv7q8nCwK4IfqwM2oMOlC4Tihrwyi4QhQOkIVqxilDbQrDkvEZXR6s37h5n7Fojy25bBoFv4v4THBRaUwtFbhLEDdHyrNIzhcmvEMUZU33lR0kw/s751/Ebbets%20Field.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="570" data-original-width="751" height="243" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiKoRO_ykMPa8k4lvbwPCX9KTBHAKaMr4J7QjZJ_GA_dxtadLB3tGnA9I_TUAHLGHlH_YrMJ3WtWJWcpv7q8nCwK4IfqwM2oMOlC4Tihrwyi4QhQOkIVqxilDbQrDkvEZXR6s37h5n7Fojy25bBoFv4v4THBRaUwtFbhLEDdHyrNIzhcmvEMUZU33lR0kw/s320/Ebbets%20Field.png" width="320" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><span><div style="text-align: center;"> Pour ajouter l'insulte à l'injure, la boule de démolition est déguisée en balle de baseball. </div></span><span><br /></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">L'équipe des Dodgers était l'équipe favorite de mon père. Je me souviens, étant enfant, (je parle ici des années 50) l'avoir vu écouter des matchs diffusés à la radio que seul le poste de radio de l'auto pouvait capter. Je le revois encore couché sur la banquette avant cherchant la meilleure fréquence de diffusion.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Il est beaucoup question de gaufres belges dans ce film. </span></div><div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Pour le film <i>Smoke</i></b></span></div><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Berlin 1995</b><span>. Ours d'argent pour le film. Prix spécial du jury pour Harvey Keitel</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Critique.</b> <i>Cahiers du Cinéma.</i> Décembre 1995. Numéro 497.</span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><p></p><div style="text-align: left;"><b style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Visionné, la première fois, le 16 avril 2000 à la télévision à Montréal. </span></b></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: left;"><b style="text-align: justify;">Mon 351ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></div></span><p></p><div style="text-align: left;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></div><p><span style="font-size: medium;"><br /></span></p></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-18509679714429191912023-11-11T11:52:00.002-05:002023-11-11T11:52:32.758-05:00350. Trier : Breaking the Waves<p><b>1<span style="font-size: medium;">001 films de Scheider : Breaking the Waves<br /></span></b><span style="font-size: medium;">L'amour est un pouvoir sacré</span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYXt1D3VUpuEj6YcrVuGDpJTeV27WGmM1hK8HrZxpbbLV1DUSOqcUohFwxyFyPVk2o952FQEQ453S00Ir0bhoHtgUXog1xh4mzsB45RAoVYV38O_P7eliN-nFxVL_aoYazHH8rJ1JQZkPdEjiPL83XzckU-Q6IyU_e3VZi54Oke56zwGEdfTuhCkTkcQU/s594/Breaking%20the%20Waves.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="594" data-original-width="437" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYXt1D3VUpuEj6YcrVuGDpJTeV27WGmM1hK8HrZxpbbLV1DUSOqcUohFwxyFyPVk2o952FQEQ453S00Ir0bhoHtgUXog1xh4mzsB45RAoVYV38O_P7eliN-nFxVL_aoYazHH8rJ1JQZkPdEjiPL83XzckU-Q6IyU_e3VZi54Oke56zwGEdfTuhCkTkcQU/s320/Breaking%20the%20Waves.png" width="235" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><br /></span><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film danois réalisé en 1996 par Lars von Trier</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Emily Watson (Bess), Stellan Skarsgard (Jan), Katrin Cartlidge, Jean-Marc Barr, Adrian Rawlins</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Rencontre improbable entre une femme menue un peu schizophrénique (elle dialogue avec Dieu) mais tellement attachante et un homme, travailleur sur une plate-forme pétrolière, à la carrure imposante. Ensemble, attachés amoureusement, ils peuvent vaincre toutes les vagues.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Quand, à la suite de son décès, l'on demande au médecin traitant si Bess était névrotique ou psychotique, il répond qu'elle était tout simplement bonne, sacrifiant sa vie pour son mari (Jan.). Trier fait un lien avec un conte de fées écossais intitulé <i>Le Cœur d'or</i> écrite par Violet Jacob et publié en 1904.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Emily Watson porte ce film à bout de bras. Un personnage, porté par la foi dans l'amour, qui flotte au-dessus de ce monde religieux misogyne.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le grand dénuement de la campagne écossaise nous rappelle les paysages de Bergman tournés à l'ile Faro avec, en toile de fond, l'effroyable froideur de la religion presbytérienne connue aussi sous le nom de Kirk, religion officielle de l'Écosse depuis 1921.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Chacun des chapitres est introduit par une chanson des années 1970, époque du film. Mon coup de cœur va à <i>Suzanne</i>, chanson composée et interprétée par Leonard Cohen. Suzanne, c'est tout simplement, la femme d'un de ses amis qui habitaient près de l'eau (le fleuve St-Laurent) dans le Vieux-Montréal. Un autre chapitre est introduit par une chanson à faire pleurer, <i>A Whiter Shade of Pale</i> de Procol Harum.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Cannes 1996.</b> Gagnant du grand prix du jury et de la Palme d'or.<br /><b>Césars 1997.</b> Meilleur film étranger.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Critique. </b><i>Cahiers du Cinéma.</i> Octobre 1996. Numéro 506</span></p><p><span style="font-size: medium;"><span><b style="text-align: justify;">Visionné, la première fois, le 10 avril 2000 sur VHS à Montréal. <br /></b></span><b style="text-align: justify;">Mon 350ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></p><p><br /></p><p><br /></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-91449732058211312492023-11-09T14:57:00.003-05:002023-11-21T14:29:35.765-05:00349. Fincher : Se7en<p><b><span style="font-size: medium;"> <span>1001 films de Schneider : Se7en</span></span></b></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfKaLRYma8-hx-SA6nLghHvZwILk0GEjF_m0jr7TFh5vYpsgJ5WM97z51oUoylY1VUHrYk0jh97K_QF2TPStETd8-JL5Fr_yg_r2EKnE4rvhlaP_5BqKF_RVk4GSMAc63RT6rte1hjDREWER8WC4X9n1YIsxkJUC2k7h6ahKSRelbXDYhdywUno_4EsNk/s601/Seven.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="601" data-original-width="378" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfKaLRYma8-hx-SA6nLghHvZwILk0GEjF_m0jr7TFh5vYpsgJ5WM97z51oUoylY1VUHrYk0jh97K_QF2TPStETd8-JL5Fr_yg_r2EKnE4rvhlaP_5BqKF_RVk4GSMAc63RT6rte1hjDREWER8WC4X9n1YIsxkJUC2k7h6ahKSRelbXDYhdywUno_4EsNk/s320/Seven.png" width="201" /></span></a></div><p><span style="font-size: medium;"><span style="text-align: justify;">Film américain réalisé en 1995 par David Fincher<br /></span><span style="text-align: justify;">Avec Morgan Freeman (Somerset), Brad Pitt (Mills), Kevin Spacey, Gwyneth Paltrow</span></span></p><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un tueur en série s'amuse à relier chacun de ses meurtres à un péché capital. La finale du film, qui est la mise en scène du péché de la colère, est un coup de génie.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">L'enquête est menée par deux détectives, l'un à sept jours (voir titre) de la retraite (Freeman) et l'autre en début de carrière (Pitt) : un stéréotype dans les films d'enquête policière.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Mise en scène dans un décor qui rappelle <i>Blade Runner</i> ou <i>Taxi Driver</i> : un New York dégradée pluvieux, celui des années 1970-1980. Toute la direction artistique est aussi glauque que les crimes commis. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Une séquence qui détonne : celle du souper chez Mills auquel Somerset a été invité par la femme de Mills (Paltrow). Ça se veut un intermède avec un peu d'intimité. Où on apprend que le couple a loué un appartement au-dessus du métro qui secoue l'appartement à chacun de ses passages. Pour justifier leur choix, Mills dit que le l'agent de location ne leur faisait visiter l'appartement que pendant des séquences de cinq minutes (entre les passages du métro, probablement). </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Kevin Spacey en tueur en série, on ne fait pas mieux. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Critique.</b> <i>Cahiers du Cinéma</i>. Numéro 499. Février 1996. ...un film, glauque, nihiliste et déprimant... Par Bill Krohn.</span></p><p></p><div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; color: black; font-family: "Times New Roman"; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-decoration-color: initial; text-decoration-style: initial; text-decoration-thickness: initial; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px;"><span style="font-size: medium;"></span></div><p></p><div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; color: black; font-family: "Times New Roman"; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-decoration-color: initial; text-decoration-style: initial; text-decoration-thickness: initial; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Visionné, la première fois, le 7 avril 2000 sur VHS à Montréal. <br /></b><b style="text-align: justify;">Mon 349ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-2600597238675305882023-10-27T12:13:00.001-04:002023-10-27T12:13:52.097-04:00348. Denis : Beau travail<b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : Beau travail</span></b><div><b><span style="font-size: medium;"><br /></span></b></div><div><div class="separator" style="clear: both; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixS2bWC4mPtmFl-SpYu5OsiNFHICSxZqGPYG-F4lpwoRP_pJppAn-rARxwxNQEB1_fHR2VXmx2nGxfoiRclTEA0tfaGnMbXFGpMBvdvBVVf9cprw7i3f6yQ878V_0hhwbj3Z0af3nxZ-0ZvBvKLT5ejELtgPoxF0JE6dJjbbPa9tofyZs4XPsnGcMcEwU/s589/Beau%20travail.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="589" data-original-width="441" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixS2bWC4mPtmFl-SpYu5OsiNFHICSxZqGPYG-F4lpwoRP_pJppAn-rARxwxNQEB1_fHR2VXmx2nGxfoiRclTEA0tfaGnMbXFGpMBvdvBVVf9cprw7i3f6yQ878V_0hhwbj3Z0af3nxZ-0ZvBvKLT5ejELtgPoxF0JE6dJjbbPa9tofyZs4XPsnGcMcEwU/s320/Beau%20travail.png" width="240" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><br /><div style="text-align: justify;">Film français réalisé en 1999 par Claire Denis</div></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Avec Denis Lavant (Galoup, le narrateur), Michel Subor (Commandant Bruno Forestier), Grégoire Colin (Sentain), et treize autres personnages de légionnaires</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Adaptation de la nouvelle <i>Billy Budd </i>d'Herman Melville qui, elle, se passe sur un bateau.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Une section de la Légion étrangère française stationnée à Djibouti. Ce rassemblement d'une quinzaine de soldats d'origine diverse fait ses exercices d'entrainement quotidien dans un décor de mer et de désert - merveilleuses images d'Agnès Godard.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">L'histoire transposée de Billy Budd (un adjudant, Galoup, qui envoie à la mort un de ses soldats, Sentain) semble périphérique à la description de la vie quotidienne des légionnaires : entrainement, tâches ménagères, travaux inutiles pour maintenir la discipline, soirées à la discothèque pour rencontrer les filles du pays.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Juste avant les crédits de fin, l'adjudant Galoup (Denis Lavant) casse son armure de légionnaire et se découvre dans une danse de tous les diables.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Dénouement ouvert. Qu'advient-il de Galoup, expulsé de la Légion étrangère ?</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Grosse discussion à la sortie du film sur son contenu implicitement homosexuel. Vous savez, quoi, on s'en fout. Ce film, c'est une perle et probablement le meilleur film de Claire Denis.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Cette phrase de Galoup : ''Sentain devait avoir un défaut dans sa cuirasse. On transporte toujours une poubelle au fond de soi. C'est ma théorie.''</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Denis Lavant, un Michel Simon contemporain.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>En 2004, j'ai eu la chance de voir Denis Lavant au théâtre l'Usine C de Montréal dans une pièce de Bernard-Marie Koltès, </span><i>La Nuit juste avant les forêts</i><span>. Un soliloque de près de deux heures. Une de mes plus grandes expériences théâtrales à vie.</span></span></div><div><p style="background-color: white; text-align: left;"><span style="font-size: medium;"><b style="background-color: transparent;">Césars 2001.</b><span style="background-color: transparent;"> Meilleur photographie</span></span></p></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Critique. </b><i>Cahiers du Cinéma. </i><span>Avril 2000. Numéro 545.</span></span></div><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br />Visionné, la première fois, le 5 février 2000 au Cinéma Ex Centris à Montréal. <br /></b><b style="text-align: justify;">Mon 348ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></div><div><span style="font-size: medium;"><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></div></span></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-27255274206750610002023-10-24T17:32:00.003-04:002023-11-21T14:36:02.518-05:00347. Almodovar : Tout sur ma mère<p><b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : Tout sur ma mère<br /></span></b></p><p><span style="font-size: medium;"><b></b></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><b><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhroYjn6hBnbEnv-Dgi69d2zTSAfmT8Q7IMj0OpxHZK_qUexlbtFkfXKobbxsRmK8i-1qLa2_oxjS9byGPmNggpY832cc8ILYuMOVvx0MpPsDMu0HkUYUau_94jQ0p6wuYRs9a67GSqmrEPl1GJ73Zfe6DJrvV_t7vc0YGfX0vM5jFXDfv23BBejt-HZMM/s595/Tout%20sur%20ma%20m%C3%A8re.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="595" data-original-width="439" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhroYjn6hBnbEnv-Dgi69d2zTSAfmT8Q7IMj0OpxHZK_qUexlbtFkfXKobbxsRmK8i-1qLa2_oxjS9byGPmNggpY832cc8ILYuMOVvx0MpPsDMu0HkUYUau_94jQ0p6wuYRs9a67GSqmrEPl1GJ73Zfe6DJrvV_t7vc0YGfX0vM5jFXDfv23BBejt-HZMM/s320/Tout%20sur%20ma%20m%C3%A8re.png" width="236" /></span></a></b></div><span style="font-size: medium;"><br /></span><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film espagnol réalisé en 1999 par Pedro Almodovar</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Cecilia Roth, Marisa Paredes, Candela Pena, Antonia San Juan, Penelope Cruz, Rosa Maria Sarda, Fernando Fernan Gomez, Fernando Guillen, Toni Canto, Eloy Azarin</div></span><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Au début du film, on visionne un extrait du film de Joseph L. Mankiewicz, <i>All About Eve,</i> dont le titre peut porter à confusion puisqu'il est question d'un personnage qui s'appelle Eve. En fait, le titre pourrait aussi s'énoncer comme suit : <i>All About Women </i>puisque Ève en est la souche.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>On pourrait aussi utiliser ce titre pour le film d'Almodovar puisqu'il n'y a qu'un sujet traité dans ce film : les femmes dans tous leurs états. Mère, actrice, prostituée, religieuse, lesbienne, diva, transexuelle. </span><span>Pas d'hommes dans ce film sinon morts ou atteint de démence sénile.</span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le film d'Almodovar est un hommage (pour céder à la mode du wokisme, on dirait aujourd'hui une femmage) à toutes les femmes.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Des extraits de la pièce de Tennessee Williams, <i>Un Tramway nommé Désir</i>, interprétées par Marisa Paredes et Candela Pena entrecoupent, à quelques reprises, le déroulement de l'histoire de Manuela (Cecilia Roth) qui est à la recherche du père de son enfant, récemment décédé dans un accident d'auto le jour anniversaire de ses 17 ans. Cet accident d'auto n'est pas sans rappeler une scène identique dans <i>Opening Night</i> (1977) de John Cassavetes : une jeune fille poursuivant l'idole de sa vie (interprétée par la grandiose Gena Rowlands), s'accrochant à la voiture avant de se faire happer par une autre voiture.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">L'aspect mélodramatique de ce film pourrait en rebuter certains dont je fais partie : les coïncidences, il ne faut pas trop en abuser, ce que fait Almodovar. Il voulait probablement réhabiliter le mélodrame, ce qu'il réussit, vu les prix obtenus.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Oscars 2000.</b><span> Meilleur film en langue étrangère</span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Césars 2000</b>. Meilleur film étranger</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Cannes 1999.</b> Prix de la mise en scène.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="font-size: medium;"><div><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Visionné, la première fois, le 27 novembre 1999 au cinéma Ex-Centris à Montréal. <br /></b></span><b style="text-align: justify;">Mon 347ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></div><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></div></span></div><div><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="font-size: medium;"><br /></span></div></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-11724061795761129972023-10-16T10:34:00.000-04:002023-10-16T10:34:41.773-04:00346. Hitckcock : Marnie<p></p><div style="text-align: justify;"><b><span style="font-size: medium;">1001 films de Schneider : Marnie</span></b></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Pas de printemps pour Marnie</div></span><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgu4wZQdfeDnoZP2hFYbWfBQtMFhMTDIZx-XyXA4h5q7CPwFhsbMYv4vSOY57H3UQwY-_ltA9vgVb9CDoMRvvo7vyXWe9Ohjv6DQ2qCwoBk-3hPhsLvrPEwHZlCD4mpvTiN1gFFDZjutPyGFtbjOW0jR-x2Fzac2hXd1wL4hVC2b_BZgkw0x4oZOiPVpJk/s542/Marnie.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="542" data-original-width="345" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgu4wZQdfeDnoZP2hFYbWfBQtMFhMTDIZx-XyXA4h5q7CPwFhsbMYv4vSOY57H3UQwY-_ltA9vgVb9CDoMRvvo7vyXWe9Ohjv6DQ2qCwoBk-3hPhsLvrPEwHZlCD4mpvTiN1gFFDZjutPyGFtbjOW0jR-x2Fzac2hXd1wL4hVC2b_BZgkw0x4oZOiPVpJk/s320/Marnie.png" width="204" /></span></a></div><p></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film américain réalisé en 1964 par Alfred Hitchcock</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Tippi Hedren, Sean Connery, Diane Baker, Martin Gabel, Louise Latham</div><div style="text-align: justify;">D'après le roman éponyme de Winston Graham, publié en 1961.</div></span><p></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIPHwPgPtACebCmEMOp0d9JYgPRJZEkQcbB1fjH_wUlVXFAjXHcDxysDbK7ZFCXODa31HD_NDzz-32ri9kwCn9s7Ef8ZP74RIEEM4EdtHbn19Y-9XMyAZxoUqgYy4BJMLF6tJS0TIt6B2fZqAOX6NlfyvLaaknYCgP61fSTKvkOMXv6l2c188-3-zgxng/s321/Marnie%20roman.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="321" data-original-width="218" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIPHwPgPtACebCmEMOp0d9JYgPRJZEkQcbB1fjH_wUlVXFAjXHcDxysDbK7ZFCXODa31HD_NDzz-32ri9kwCn9s7Ef8ZP74RIEEM4EdtHbn19Y-9XMyAZxoUqgYy4BJMLF6tJS0TIt6B2fZqAOX6NlfyvLaaknYCgP61fSTKvkOMXv6l2c188-3-zgxng/s320/Marnie%20roman.png" width="217" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">En plus du film d'Hitchcock adapté pour le cinéma, <i>Marnie </i>a été adapté pour la scène en 2001 et pour l'opéra par l'<i>English National Opera</i> en 2017 et le<i> Metropolitan Opera </i>en 2018 avec Isabel Leonard dans le rôle titre.</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un film policier qui se veut freudien et qui se traine en longueur. Des dialogues chargées d'explications qui embrouillent plus qu'ils n'éclairent et le pauvre Sean qui se transforme en psychanalyste de pacotille.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un critique : ''Une intrigue qui coagule plutôt qu'elle ne s'épaissit''.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Caché sous ce scénario, le comportement possessif pathologique d'Hitchcock pour sa comédienne, Tippi Hedren. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Pas de scènes de suspense si l'on excepte celle du vol du coffre-fort. Pensant qu'elle est seule pour effectuer son délit, Marnie découvre, avec horreur, qu'il y a une femme de ménage qui s'active dans la pièce d'à-côté. Elle tente alors, en enlevant ses chaussures, de s'échapper de la scène mais, malencontreusement, un soulier tombe au sol - la femme de ménage ne réagit pas - elle est sourde. Une merveille du suspense à la Hitchcock.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">C'est beaucoup pour la blonde Marnie : cleptomanie, peur du rouge et des orages électriques, frigidité, viol (nullement explicite, à moins que ma copie n'ait été censurée), tentative de suicide, pédophilie, rejet parental. N'en rajoutez plus, la cour du psychanalyste est pleine.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Les surimpressions, très nombreuses, sont en général assez merdiques.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Les coffres-forts du film me rappellent celui que mon père avait fait installer au sous-sol de la maison et dans lequel il enfermait les baptistères des enfants et quelques autres papiers importants. Ce coffre-fort, qui ne contenait pas un rond, provenait de l'idée de mon père d'ouvrir une franchise américaine de coffres-forts personnels à Québec - faillite sur toute la ligne.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Cahiers du Cinéma 1964.</b><span> Un des dix meilleurs films de l'année.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Critique.</b> <i><a href="https://archive.org/details/CahiersDuCinma/Cahiers%20du%20Cin%C3%A9ma/163/page/n77/mode/2up">Cahiers du Cinéma. </a></i>Février 1965. Numéro 163. <i>Il l'a dit, s'il l'a dit, t'es fini, t'es pris.</i> Par Michel Delahaye.</span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><p><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Visionné, la première fois, le 17 novembre 1999 à la télévision à Montréal. <br /></b></span><b style="text-align: justify;">Mon 346ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></p><div><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;"><br /></b></span></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-61827837722702558272023-10-02T15:08:00.000-04:002023-10-02T15:08:40.846-04:00345. Myrick et Sanchez : The Blair Witch Project<p><b><span style="font-size: medium;"> 1001 films de Schneider : The Blair Witch Project</span></b></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; font-weight: bold; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOolzxgg4PKVxj66hTydnHiBCYF8yGbtNx4dmxgcZ8Z4HSW1dTquv9_lyE3OBd9WXjOInhGuoW-iwQ7pQZsfNXe1nYndxIOGz_6KN--os_6QVX6Of--qqVim10ixqx_EzmFND742FB62I4-M4wQDsyYPRUasQjpXtexSNYDjgQzKwjqoNi8HwwO7A2j98/s586/Blair%20Witch%20Project.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="586" data-original-width="395" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjOolzxgg4PKVxj66hTydnHiBCYF8yGbtNx4dmxgcZ8Z4HSW1dTquv9_lyE3OBd9WXjOInhGuoW-iwQ7pQZsfNXe1nYndxIOGz_6KN--os_6QVX6Of--qqVim10ixqx_EzmFND742FB62I4-M4wQDsyYPRUasQjpXtexSNYDjgQzKwjqoNi8HwwO7A2j98/s320/Blair%20Witch%20Project.png" width="216" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><br /></span><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film américain réalisé en 1999 par Daniel Myrick et Eduardo Sanchez</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Heather Donahue, Joshua Leonard, Michael C. Williams</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Bienvenue dans l'univers du faux documentaire et du genre <i>found footage</i>. Ce genre fait croire que le document présenté, perdu, a été retrouvé par des gens étrangers à la production du document. Une technique souvent utilisée dans les films d'horreur, par exemple dans <i>Cloverfield</i> (2008) ou<i> Paranormal Activity</i> (2007).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Tout l'intérêt du film réside dans la terreur instillée, par petites doses, par l'inadéquation des personnages dans un milieu inconnu : perte d'orientation, peurs nocturnes, hallucinations auditives et phénomènes étranges. La totale pour un film d'horreur.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span>Un deuxième visionnement est sans intérêt à moins de s'intéresser </span>aux techniques de tournage qui sont étonnantes et brillantes. L'utilisation d'une caméra 16mm et d'un caméscope donne un rendu réaliste hors-norme, on pourrait presque dire jusqu'à la nausée. C'est ce qui en fait un film d'horreur exceptionnel.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La seule chose vraie du film est la petite ville (142 habitants) de Burkittsville, Maryland qui a du subir l'assaut de milliers de fans de la série des <i>Blair Witch Project</i>, au grand désespoir des citoyens qui ont fini par bloquer l'accès à la presque totalité du village.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Parlez-moi d'un rendement sur investissement : le film a couté 35,000$ et rapporté 250 millions$ (chiffres de 2015).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Se perdre dans le bois est probablement ma plus grande terreur. J'ai fait des milliers de kilomètres dans les montagnes très forestières de l'est des USA mais toujours sur des sentiers balisés. J'ai même guidé des groupes d'une dizaine de personnes plus d'une centaine de fois par l'entremise de mon club de randonnée, <i>Le Mouflon</i>. Mais toujours sur des sentiers balisés. Je n'ai jamais fait de la randonnée en dehors de ceux-ci. Même avec carte et boussole (c'était avant le GPS portable), je ne me serais jamais aventuré dans le bois. Alors j'ai bien senti la terreur vécue par les personnages du film lorsqu'ils constatent qu'ils sont bel et bien perdus.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La compagnie qui a produit ce film, Haxan Films, est dénommée à partir du film <i>Haxan</i> <i>(The Witch </i>en danois<i>)</i>, réalisé en 1922 par Benjamin Christensen. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><i>Forgotten Silver</i> (1995) de Costa Botes et Peter Jackson est un des plus fameux faux documentaire (documeteur) à propos d'un pionnier néozélandais du cinéma qui aurait été en avance sur différentes techniques cinématographiques mais qui aurait été oublié par l'histoire du cinéma.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Cannes 1999</b>. Prix de la jeunesse - film étranger</span></p><p><span style="font-size: medium;"></span></p><p style="-webkit-text-stroke-width: 0px; color: black; font-family: "Times New Roman"; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-decoration-color: initial; text-decoration-style: initial; text-decoration-thickness: initial; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: medium;"></span></span></p><p></p><div style="-webkit-text-stroke-width: 0px; color: black; font-family: "Times New Roman"; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-variant-ligatures: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-decoration-color: initial; text-decoration-style: initial; text-decoration-thickness: initial; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Visionné, la première fois, le 31 octobre 1999 sur VHS à Montréal. <br /></b></span><b style="text-align: justify;">Mon 345ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-43628155587924261862023-09-25T17:46:00.001-04:002023-09-25T17:46:32.190-04:00344. Vinterberg : Festen<p><span style="font-size: medium;"><b>1001 films de Schneider : Festen</b><br />Fête de famille</span></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEibcq5zi6x_84L97PYRNFzGTSaOi_d3n_slZOZYceX2jg1dt2OZEJxnwco4oHTgXKWf1obGVM2NDjvh3F-Zl4GiqzjBLfr4CC0bK77ObiSqYG44nvC7xFu5n4or-njEAuLOvSy6mER6MgHKfg-g4eiCgN9kPsIGFgFiCyPM1KPZLllv04xLD7JtFP8V_DY/s598/Festen.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="598" data-original-width="405" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEibcq5zi6x_84L97PYRNFzGTSaOi_d3n_slZOZYceX2jg1dt2OZEJxnwco4oHTgXKWf1obGVM2NDjvh3F-Zl4GiqzjBLfr4CC0bK77ObiSqYG44nvC7xFu5n4or-njEAuLOvSy6mER6MgHKfg-g4eiCgN9kPsIGFgFiCyPM1KPZLllv04xLD7JtFP8V_DY/s320/Festen.png" width="217" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><br /></span><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film danois réalisé en 1998 par Thomas Vinterberg</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Ulrich Thomsen, Henning Moritzen, Thomas Bo Larsen, Paprika Steen, Birthe Neumann, Trine Dyrholm, Helle Dolleris, Therese Glahn, Klaus Bondam</div></span><p></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">D'abord un mot sur <i>Dogme 95. C</i>ourant d'avant-garde cinématographique danois créé en 1995 par, entre autres réalisateurs, Lars von Trier et Thomas Vinterberg. Une sorte de <i>Nouvelle Vague</i> danoise. Il s'agit de sortir le cinéma des ornières du cinéma commercial dominant de l'époque.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Dès le début de <i>Festen </i>(considéré comme le numéro un de la série <i>Dogme 95</i>)<i>,</i> on voit, par le jeu de la caméra, une des grandes caractéristiques de <i>Dogme 95.</i> La caméra, portée à l'épaule, nous inonde de plans inédits et agréablement surprenants même si on a l'impression de voir, dans les premières scènes, une esthétique digne de mes premiers films tournés en 8mm à l'époque où je rêvais d'aller étudier à l'IDHEC (l'Institut des hautes études cinématographiques de Paris).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Autre caractéristique : <i>Dogme 95</i>, c'est le cinéma du Here and Now. Festen nous présente le déroulement d'une célébration qui donnera lieu à un drame familial bouleversant comme du cinéma direct.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Morale de cette histoire : Rassembler une large famille lors d'un repas fortement arrosé et vous risquez de voir quelques mines qui étaient bien enterrées refaire surface et détruire cette famille à jamais ; ce qui nous ramène à la célèbre phrase d'André Gide : <i>Familles, je vous hais.</i></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Je ne peux pas m'empêcher de faire une comparaison avec la grande fête familiale de Noël de<i> Fanny et Alexandre</i> de Bergman qui, elle, se termine dans le bonheur. Vinterberg fait d'ailleurs un clin d'œil au film de Bergman en introduisant dans sa fête une farandole comme celle de Bergman mais en plus désorganisée.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un point me dérange dans ce film : la violence du plus jeune de la famille. On dirait vraiment qu'elle est exagérée. Cette violence, surjouée, qui attire toute l'attention, semble atténuer le drame vécu par Christian et sa sœur jumelle, tous les deux abusés par le père avec la complicité non-active de la mère.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">La confession de Christian met-elle un point final au drame familial ? Je pense à cette phrase tiré de <i>Le sang noir </i>de Louis Guilloux : ''Quand on s'était tout dit, rien n'était vidé.''</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Un superbe titre de <a href="https://www.telerama.fr/cinema/festen,-le-premier-film-estampille-dogme,-a-20-ans,n5928271.php">Télérama </a>publié le 22 décembre 2018 : Comment <i>Festen </i>donna au champagne de Noël 1998 un sérieux goût acide. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Cannes 1998.</b> Prix du jury à Thomas Vinterberg</span></p><p><span style="font-size: medium;"><b>Critique.</b> <i>Cahiers du Cinéma</i>. Juin 1998. Numéro 525. Par Stéphane Bouquet.</span></p><div><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Visionné, la première fois, le 13 octobre 1999 sur VHS à Montréal. <br /></b></span><b style="text-align: justify;">Mon 344ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></div><p><span style="font-size: medium;"></span></p><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><p><span style="font-size: medium;"><br /></span></p>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4842731382644854739.post-55173264846475376822023-09-24T12:55:00.000-04:002023-09-24T12:55:33.215-04:00343. Marquand : Star Wars : Episode VI - Return of the Jedi<p><span style="font-size: medium;"><b>1001 films de Schneider : Star Wars : Episode VI - Return of the Jedi</b><br />Le Retour du Jedi</span></p><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjE0076dcLyw9RRm-K77xwNNewRwUhPDNwTuZ7tqmy1dzqun7zhgGQdcrnC-juYeDV-qwYv5-tdtL7uKKVeNi9TD0aXCxmlGnNqZXEhIN3JtPsRJxn3Rmgrmf_gUZT0rxihIz7ZPEIInKR8xQ9Wrh4s3n2IBKCQ1-dZhWRMlb7fIt0BY2jl9ffi6RI-cH4/s592/Return%20of%20the%20Jedi.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: medium;"><img border="0" data-original-height="592" data-original-width="405" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjE0076dcLyw9RRm-K77xwNNewRwUhPDNwTuZ7tqmy1dzqun7zhgGQdcrnC-juYeDV-qwYv5-tdtL7uKKVeNi9TD0aXCxmlGnNqZXEhIN3JtPsRJxn3Rmgrmf_gUZT0rxihIz7ZPEIInKR8xQ9Wrh4s3n2IBKCQ1-dZhWRMlb7fIt0BY2jl9ffi6RI-cH4/s320/Return%20of%20the%20Jedi.png" width="219" /></span></a></div><span style="font-size: medium;"><br /></span><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Film américain réalisé en 1983 par Richard Marquand</span></div><span style="font-size: medium;"><div style="text-align: justify;">Avec Mark Hamill (Luke Skywalker), Carrie Fisher (Princesse Leia), Harrison Ford (Han Solo), Billy Dee Williams, Anthony Daniels, Peter Mayhew, Sebastian Shaw, Ian McDiarmid, Frank Oz, James Earl Jones, David Prowse, Alec Guinness</div></span><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Jabba nous donne un beau spectacle de freaks show pour débuter le film - c'est bien apprécié de donner un court congé à la force du Mal.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">J'ai bien aimé la guerre des Teddy Bears, mignons et futés mais fort peu crédibles dans leur combat contre les guerriers de l'Empereur.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Si Harrison Ford pouvait arrêter de surjouer, ça ne serait pas si mal en fin de compte.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Finalement, les épisodes 4, 5 et 6, c'est beaucoup de métrage pour une histoire familiale assez simple. Mon préféré : le 6.</span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><b>Oscars 1984.</b><span> Effets spéciaux</span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div><span style="font-size: medium;"><span style="font-size: medium;"><b style="text-align: justify;">Visionné, la première fois, le 8 aout 1999 sur VHS à Montréal. <br /></b></span><b style="text-align: justify;">Mon 343ème film visionné de la liste des 1001 films du livre de Schneider</b></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><br /></span></div></div>Cinéphilehttp://www.blogger.com/profile/12580910047525400244noreply@blogger.com